Étiquette : chronique

  • celles qui denoncent (chronique de juliette arnaud)

    nikky sempalle: lisa perrio

    Dans « Cellules qui dénoncent », Juliette Arnaud transforme l’indignation en art. Avec son style percutant et son humour acéré, elle dissèque les travers de notre époque, donnant voix à celles et ceux que l’on n’entend pas assez. Entre satire sociale et engagement, ses chroniques sont des miroirs tendus à une société parfois sourde à ses propres contradictions.

    Juliette Arnaud ne se contente pas de critiquer : elle éclaire, provoque, et surtout, elle rassemble. Chaque mot devient une arme, chaque phrase un appel à la réflexion. Son talent ? Rendre accessible ce qui dérange, et faire rire là où d’autres feraient pleurer.

    À l’heure où les réseaux sociaux amplifient les colères éphémères, elle rappelle que la dénonciation a du sens quand elle s’appuie sur l’intelligence et la nuance. Une chronique à lire, à partager, et surtout, à méditer.

  • la depression (chronique de constance)

    chansons paillardes

    Sur Mes Délires, Constance partage son combat contre la dépression chronique, un témoignage brut et nécessaire. À travers des mots simples et percutants, elle décrit l’invisible : la fatigue persistante, l’absence de lumière, et ce sentiment d’être un fantôme dans sa propre vie. Son récit, sans fard, brise les tabous et rappelle que la dépression n’est pas une faiblesse, mais une maladie qui se soigne. Entre espoirs et rechutes, elle évoque aussi les petits pas vers la reconstruction, l’importance de l’écoute et de l’accompagnement. Ce texte, à la fois intime et universel, offre une main tendue à ceux qui se sentent seuls face à leur souffrance. Une lecture essentielle pour comprendre, et peut-être mieux accompagner.

  • littairrature : chronique aymeric lompret

    Aymeric Lompret, humoriste et chroniqueur connu pour son esprit mordant, a une nouvelle fois marqué les esprits avec sa chronique « Littairrature » diffusée le 9 novembre 2025 dans l’émission La Dernière sur Radio Nova. Spécialiste de l’actualité littéraire et sociale, il y aborde la rentrée littéraire avec son regard décalé et percutant. Membre fondateur de La Dernière, il y côtoie Guillaume Meurice, Pierre-Emmanuel Barré et Juliette Arnaud, offrant chaque dimanche une analyse à la fois drôle et acérée de l’actualité culturelle. Son style, mêlant humour et pertinence, séduit un public toujours plus large. Après des débuts remarqués dans On n’demande qu’à en rire et des passages sur France Inter, Lompret confirme son talent pour transformer l’actualité en spectacle. Sa chronique, disponible en podcast, est devenue un rendez-vous incontournable pour les amateurs de culture et de rire intelligent. Une preuve que l’humour peut aussi être un outil d’analyse fine de notre société.

  • soyons réaliste (chronique de pierre emmanuel barré)

    Dans un monde où l’absurde règne en maître, Pierre-Emmanuel Barré nous rappelle une vérité essentielle : le rire est une arme. À travers ses chroniques acérées, il dépeint notre quotidien avec un réalisme décalé, transformant les travers de la société en punchlines savoureuses. Entre autodérision et lucidité, il nous invite à relativiser, à accepter nos imperfections sans renoncer à l’espoir. Son style, à la fois percutant et accessible, fait de chaque texte un miroir tendu vers nos propres contradictions.

    L’humour, pour Barré, n’est pas une échappatoire, mais un outil de résistance. Il nous pousse à regarder la réalité en face, sans fard ni naïveté. Alors, face aux défis du monde moderne, suivons son conseil : restons réalistes, mais gardons le sourire. Car après tout, comme il le souligne si bien, « la vie est trop courte pour se prendre au sérieux ».

  • jordan macron (chronique pierre emmanuel barré)

    Dans une chronique aussi piquante qu’inattendue, Pierre-Emmanuel Barré ose un parallèle décalé entre Michael Jordan, légende du basket, et Emmanuel Macron, président français. L’un domine les parquets avec une élégance implacable, l’autre naviguerait dans l’arène politique avec la même détermination, entre coups de génie et controverses. Barré, maître de l’ironie, transforme cette comparaison en une satire savoureuse, où le show sportifs se mêle aux joutes politiques. Entre dribble médiatique et reformes audacieuses, qui des deux sortira vainqueur ? Une chose est sûre : avec Barré, le débat devient un match haletant, où chaque mot est un panier à trois points. À lire pour rire, réfléchir… et peut-être s’indigner.

  • qu’est ce qu’etre français? (chronique de pierre emmanuel barre)

    Dans sa chronique acérée, Pierre-Emmanuel Barré interroge avec humour et cynisme la notion d’être français aujourd’hui. Chroniqueur emblématique de Radio Nova et figure de l’humour noir, il décrypte les travers politiques et sociaux de la France contemporaine, mêlant provocation et lucidité. Son style, sans concession, met en lumière les contradictions d’une société en quête d’identité, entre repli nationaliste et idéal républicain. Barré, connu pour ses prises de position tranchantes, utilise l’ironie pour révéler les absurdités du débat public. Son approche, à la fois drôle et mordante, invite à réfléchir sur ce qui unit ou divise les Français. Entre satire et analyse, il rappelle que l’identité nationale se construit aussi par le rire et la remise en question. Une chronique qui dérange, mais qui fait mouche, dans un pays où la question identitaire reste brûlante.

  • sonnette d’allaharme la chronique de guillaume meurice

    Guillaume Meurice, maître de l’ironie et de l’engagement, signe dans Mes Délires une chronique cinglante intitulée « Sonnette d’alarme ». Avec son style mordant et son regard acéré, il décrypte l’actualité politique et sociale, transformant l’indignation en humour corrosif. Entre absurde et lucidité, ses mots résonnent comme un appel à la vigilance citoyenne. À travers des anecdotes savoureuses et des traits d’esprit implacables, Meurice dénonce les travers de notre époque, tout en gardant cette légèreté qui le caractérise. Une lecture essentielle pour ceux qui aiment rire… sans fermer les yeux. Son talent ? Rendre la critique accessible, drôle, et surtout, nécessaire. Une fois de plus, il prouve que l’humour peut être une arme redoutable contre l’indifférence.

  • Ceux qui ont mal à leur énergie masculine – La chronique de Juliette Arnaud

    L’énergie masculine, souvent associée à la force et à l’action, peut aussi porter des blessures invisibles. Sociétalement, les hommes apprennent à réprimer leurs émotions, à performer sans faille, à incarner une virilité parfois toxique. Résultat : colère rentrée, sentiment d’imposture, ou difficulté à s’autoriser la vulnérabilité. Juliette Arnaud, dans sa chronique percutante, rappelle que cette souffrance existe, et qu’elle mérite d’être entendue.

    Et si la clé résidait dans l’équilibre ? Accepter sa sensibilité, oser demander de l’aide, briser le mythe du « toujours fort ». La guérison passe par la reconnaissance de ces blessures, et par le droit, enfin, d’être humain avant tout. Car une masculinité apaisée profite à tous : aux hommes, mais aussi à celles et ceux qui les entourent.

  • Chronique pour les pauvres

    L’intelligence artificielle n’est plus réservée aux géants de la tech. Aujourd’hui, elle s’invite dans nos vies pour simplifier, créer, et même générer des revenus. Que ce soit pour automatiser des tâches fastidieuses, lancer un business en ligne ou optimiser son budget, les possibilités sont infinies. Des outils accessibles permettent de rédiger, concevoir ou analyser en quelques clics. Même avec un petit budget, il est possible de se former et d’exploiter ces technologies. L’IA démocratise l’innovation : elle offre à chacun la chance de transformer ses idées en réalité, sans besoin de compétences techniques poussées. Alors, pourquoi ne pas sauter le pas ? Avec un peu de curiosité et d’audace, l’IA peut devenir votre alliée pour gagner en efficacité et en créativité. Et si la technologie devenait enfin votre complice du quotidien ?

  • Parcoursup en maternelle

    Et si Parcoursup débarquait en maternelle ? Entre les ateliers « découverte des métiers » pour les tout-petits et les parents stressés par l’avenir scolaire de leur enfant, la pression monte dès la petite section. Les écoles testent des activités « projet professionnel » avec des jeux de rôle : « Aujourd’hui, tu seras astronaute ! » Mais où est passée l’insouciance de l’enfance ?

    Certains y voient une façon de préparer les enfants à un monde compétitif, d’autres une dérive absurde. « À 4 ans, mon fils doit déjà choisir entre danse et robotique », s’amuse une maman. Les enseignants, divisés, rappellent l’importance du jeu libre. Une chose est sûre : si la maternelle devient un tremplin vers l’excellence, les récréations risquent de perdre leur saveur.