Étiquette : chronique

  • votez en 2027

    En 2027, chaque vote sera une graine pour l’avenir. Les enjeux ? Climat, justice sociale, innovation. Mes Délires vous invite à vous informer, à débattre, et surtout, à agir. Les élections ne sont pas qu’un devoir civique : c’est l’occasion de façonner un monde qui vous ressemble.

    Ne laissez pas les autres décider à votre place. Que vous soyez passionné de politique ou simple citoyen, votre opinion mérite d’être entendue. Participez, votez, faites la différence !

  • L’islamophobie n’existe pas

    L’islamophobie est souvent présentée comme une peur irrationnelle de l’islam. Pourtant, ce terme soulève des débats. Certains estiment qu’il sert à étouffer toute critique des idées religieuses, confondant opposition à l’islamisme et rejet des musulmans. La liberté d’expression permet de questionner les dogmes, comme pour toute croyance. En France, la laïcité garantit le droit de critiquer les religions, sans haine envers les croyants.

    Plutôt que d’invoquer l’islamophobie, ne faudrait-il pas distinguer la critique légitime des excès racistes ? Le vrai danger réside dans l’amalgame entre religion et individus, qui alimente les tensions. La société a tout à gagner à privilégier le dialogue et la nuance, plutôt qu’à brandir des mots-valises qui polarisent. La peur n’est pas un délit, mais la haine, elle, doit être combattue. L’enjeu est de défendre les valeurs républicaines sans sacrifier la liberté de penser.

  • Je vois des fachos partout 2

    Vous aussi, vous voyez des fachos sous chaque caillou ? Rassurez-vous, c’est normal : depuis que le débat public ressemble à une partie de Cluedo géante (« C’est le voisin, dans la cuisine, avec un tweet ambigu ! »), tout le monde a son diplôme de chasseur d’extrémistes. Un regard en coin ? Facho. Un silence gêné ? Facho. Un avis différent ? FACHO SUPRÊME.

    Pourtant, entre la paranoïa collective et la vraie menace, la frontière est mince comme un cheveu de militant vegan en convention de bouchers. Alors, avant de brandir votre torche et vos fourches virtuelles, posez-vous : et si, parfois, le vrai danger n’était pas l’autre, mais notre obsession à le coller dans une case ? Spoiler : non, aimer la quiche lorraine ne fait pas de vous un nostalgique de Vichy. Enfin, sauf si vous la mangez en chantant Maréchal, nous voilà… là, on en reparle.

  • Ma vulve est mon amie

    La vulve, souvent taboue, est bien plus qu’un simple organe : c’est un symbole de force, de plaisir et de liberté. Pourtant, la société nous pousse à la cacher, à en avoir honte, ou à l’ignorer. Et si on apprenait à la célébrer ? À l’écouter, à la comprendre, à en prendre soin comme d’une alliée précieuse ?

    Chaque vulve est unique, comme une empreinte digitale. Elle mérite respect, attention et amour. Parler de son anatomie, de ses désirs, de ses changements, c’est briser les silences et s’émanciper. La connaître, c’est se réapproprier son corps, son plaisir, et sa santé.

  • Faites confiance aux politiques

    Les politiques promettent monts et merveilles : emploi pour tous, pouvoir d’achat en hausse, et un avenir radieux. Pourtant, entre les scandales, les revirements et les promesses oubliées, la méfiance grandit. Qui croire quand les discours changent avec les sondages ? Certains élisent encore l’espoir, d’autres préfèrent l’abstention ou le vote protestataire. Et si la vraie solution était de s’informer, de questionner, et de ne plus attendre de miracles ? La confiance se mérite, pas seulement avec des mots, mais avec des actes. Alors, prêts à parier sur eux… ou à prendre les rênes vous-mêmes ?

  • Le tirage au sort pour sauver la démocratie ?

    Et si la solution pour une démocratie plus juste était… le hasard ? Le tirage au sort, utilisé depuis l’Athènes antique, revient en force comme alternative aux élections, souvent critiquées pour leur élitisme et leur corruption. En désignant aléatoirement des citoyens pour participer aux décisions, on brise les barrières sociales et on redonne la parole au peuple. Des expériences en Islande, en Belgique ou en France (comme les conventions citoyennes) montrent son potentiel : moins de lobbies, plus de diversité, et des débats apaisés. Pourtant, cette idée dérange : comment accepter que le pouvoir échappe aux « experts » ou aux professionnels de la politique ? Et si, finalement, la vraie compétence démocratique était simplement d’écouter et de délibérer ensemble ? Le tirage au sort ne sauvera peut-être pas le monde, mais il pourrait bien sauver l’esprit de la démocratie : l’égalité.

  • « Travail travail et travail » : la chronique d’Aymeric Lompret

    Dans notre société, le travail est devenu bien plus qu’une activité : c’est une religion. On nous répète sans cesse qu’il faut « s’épanouir » dans son job, comme si le bonheur ne pouvait exister qu’entre deux réunions et un open space. Pourtant, derrière les discours motivants et les ateliers de bien-être en entreprise, se cache une réalité moins glamour : des journées interminables, des objectifs toujours plus fous, et cette petite voix qui nous murmure que si on ne travaille pas assez, on est un bon à rien.

    Le pire ? On a intériorisé cette pression. On se vante de ses nuits blanches, on affiche fièrement son burn-out comme une médaille. Le travail a colonisé nos vies, nos conversations, nos rêves. Même en vacances, on vérifie ses mails, comme si le monde ne pouvait pas tourner sans nous. Et si, finalement, le vrai luxe n’était pas de tout donner à son boulot, mais de savoir en sortir ? De refuser cette course sans fin, pour retrouver un peu de temps… pour ne rien faire ?

  • La chasse aux chômeurs: La chronique d’Aymeric Lompret dans « La dernière »

    Dans sa dernière chronique, Dayméric Lompret dépeint avec ironie et justesse la traque aux chômeurs, transformée en sport national. Entre contrôles aléatoires, suspicions systématiques et discours culpabilisants, les sans-emploi deviennent des cibles faciles dans un système qui préfère pointer du doigt plutôt que de proposer des solutions. L’humour mordant de Lompret révèle l’hypocrisie d’une société qui criminalise la précarité tout en fermant les yeux sur les vrais responsables : des politiques économiques défaillantes et un marché du travail toujours plus exclusif.

    Et si, au lieu de traquer, on écoutait ? Et si, au lieu de sanctionner, on accompagnait ? La question mérite d’être posée, surtout quand le rire, aussi acide soit-il, devient le dernier rempart contre l’injustice.

  • Ma colocataire prend du crack

    Depuis trois mois, je partage mon appartement avec Léa, une fille apparemment cool… jusqu’à ce que je découvre ses drôles de poudres blanches sur la table basse. D’abord, j’ai cru à de la farine. Puis, j’ai vu les pailles et les nuits agitées. Léa, ma colocataire modèle, sniffait du crack entre deux épisodes de Stranger Things.

    Dois-je fuir ? L’affronter ? Ou organiser une intervention façon télé-réalité ? Entre les cris à 3h du matin et les visiteurs louches, ma vie ressemble à un épisode de Breaking Bad. Sans Jesse Pinkman pour m’aider.

    J’ai essayé d’en parler, mais elle m’a ri au nez : « C’est juste pour décompresser, comme ton vin du soir ! » Sauf que mon vin ne transforme pas le salon en scène de crime. Et si je déménageais ? Ou pire… et si je devenais son complice malgré moi ?

  • L’argent et le travail c’est SUPER

    L’argent et le travail sont souvent perçus comme des contraintes, mais ils peuvent aussi être des leviers de liberté. Travailler permet de se réaliser, d’apprendre et de contribuer à la société, tandis que l’argent offre des opportunités : voyages, projets, sécurité. Ensemble, ils transforment les rêves en réalité. Bien sûr, l’équilibre est essentiel : il ne s’agit pas de s’épuiser, mais de trouver un métier qui a du sens et une rémunération juste. Et si, au lieu de les subir, on les voyait comme des outils pour construire une vie épanouissante ? Après tout, c’est en combinant passion et pragmatisme que l’on trouve le bonheur. Alors, prêt à repenser votre rapport à l’argent et au travail ?